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Le puits sans fond et le trou noir. Deux concepts touchant des classes sociales aux intérêts qui ne sont certainement pas convergents. C’est dans la profondeur abyssale de ce puits que sont englouties les centaines de millions payées aux médecins, comme s’ils étaient imperméables aux mesures d’austérité qui ont frappé toutes les autres catégories de personnel du secteur public. Le trou noir, c’est la dernière manifestation de la kyrielle de réformes qui ont affaibli le régime d’assurance-emploi depuis 1989. Des milliers de salarié-es y sont tombés, privés de prestations avant que leur travail saisonnier n’ait repris. Deux trous, deux mesures.
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Devant l’offre globale inacceptable qui leur a été faite par le gouvernement, le même jour où l’on apprenait l’octroi de plusieurs milliards pour les médecins spécialistes, une cinquantaine de sages-femmes ont procédé le 21 février à une action symbolique. |
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En imposant aux responsables en service de garde (RSG) des frais pour l’adhésion à un guichet unique, le gouvernement viole-t-il sa propre loi ? En plus d’appauvrir les RSG, cette décision constitue un affront direct puisqu’elle a été prise sans leur consentement, pourtant requis par la loi encadrant leur reconnaissance et leurs négociations collectives. |
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Un arbitre de grief a rendu une décision reliée à un grief déposé par l’Université du Québec en Outaouais et qui conteste une résolution adoptée en assemblée générale par le syndicat. |
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«Après trois ans de négociations empreintes de tergiversations, les professeures et professeurs de l’UQO restent mobilisés pour le développement de leur université et assurent les communautés desservies par l’UQO que nous sommes engagés à titre de partenaires du développement régional.»
— Louise Briand, présidente du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais (SPUQO–CSN)
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Protégeons les vraies nouvelles
Parce que la désinformation menace notre démocratie.
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Centre de communication d’Urgences-santé
Troisième déclenchement de grève
Les 210 répartiteurs, répartitrices et employées de bureau du centre de communication santé sont toujours sans contrat de travail, et cela, depuis près de trois ans. Pour forcer le déblocage des négociations qui stagnent depuis des mois, ils ont déclenché la grève pour une troisième fois, hier soir à 23 h. Celle-ci se poursuivra ce vendredi 23 février. |
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Transport collectif à Montréal
Les employé-es d’entretien votent six jours de grève
Les membres du Syndicat du transport de Montréal–CSN de la STM ont voté à 98 % un mandat prévoyant des moyens de pression, incluant une banque de six jours de grève à exercer au moment jugé opportun. |
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Négociation chez Transco Montréal
Un autre jour de grève le 28 février prochain
Le 28 février prochain, à la première heure, les conductrices et les conducteurs du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) seront en grève pour la journée. Il s’agit du troisième jour de grève sur les trois qui avaient été votés le 23 janvier dernier. |
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Saguenay–Lac-Saint-Jean
Des travailleuses de CPE votent pour la grève générale illimitée
Près de 500 travailleuses en CPE, membres du Syndicat des travailleuses des CPE et des BC du Saguenay–Lac-Saint-Jean ont voté à 92 % pour la grève générale illimitée. Sans convention collective depuis 35 mois, ces travailleuses ont conclu une entente de principe avec le gouvernement sur les clauses à incidences salariales. Les négociations régionales, elles, ont débuté il y a plus de 17 mois. |
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| École de musique de Villa Maria |
Aidons les élèves de Villa Maria à préserver la culture et l'histoire dans leur école.
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| une image vaut mille mots |
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