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Ce n’est pas toujours le nombre de manifestants qui fait reculer les géants de ce monde. Nous avons vu des rassemblements et des grands mouvements de dizaines de milliers de personnes en faveur de causes sociales nobles qui n’ont pas donné tous les résultats escomptés. Pourtant, récemment, quelque 200 personnes en ont eu ras le bol d’une frange de l’aristocratie économique qui vit aux crochets de nos impôts pour brasser des affaires et vivre grassement dans leur tour d’ivoire. Bombardier a reculé, certes, mais quelques jours plus tard, SNC-Lavalin consent 24,4 millions à ses six plus hauts dirigeants. Non, mais…
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Une entente de principe est intervenue dans la nuit du mercredi 5 avril entre le Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis et l’employeur. Celle-ci sera présentée aux membres prochainement en assemblée générale. |
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Le 1er avril, la première des réformes lancées par Gaétan Barrette a eu deux ans. Dans chaque région du Québec, l’ensemble des établissements de santé et de services sociaux, toutes missions confondues, a été fusionné en un seul méga-établissement par région, sauf exception. |
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Quelque 120 travailleuses et travailleurs du centre de distribution Multi-Marques de Laval, qui produit les pains Pom, Bon Matin et Villaggio, ont été mis sauvagement en lock-out dans la nuit du samedi 1er avril. Pourtant, les négociations se déroulaient relativement bien jusqu’à la toute dernière minute précédant le lock-out. Le lundi 3 avril, les lock-outés ont organisé une manifestation devant l’usine de Laval. |
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La FC–CSN encourage les travailleuses et les travailleurs du Saint-Hubert de la rue Saint-Denis à poursuivre leurs démarches pour la création d’une coopérative leur permettant de racheter leur restaurant et de consolider leurs emplois. |
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Mise en place par l’Association de journalistes indépendants du Québec et la Fédération nationale des communications, cette campagne vise à jeter les bases d’une large mobilisation pour la sauvegarde du journalisme d’intérêt public et des médias d’information qui sont menacés par une crise financière, technologique et de confiance sans précédent. |
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Vidéo
Alors que les négociations se déroulaient relativement bien le 31 mars en fin de soirée, Multi-Marques de Laval a exercé sa menace de lock-out à l'égard des 119 salarié-es dès minuit le 1er avril.
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Je suis travailleuse d’agence de placement depuis maintenant sept ans. Je travaille dans différents domaines et je fais plusieurs types de travaux, comme la préparation de commandes de nourriture ou de vêtements. La durée de mon travail varie beaucoup. Parfois, j’ai le même travail pendant quelques mois, et d’autres fois, il ne dure qu’une seule journée.
Je suis toujours payée au salaire minimum et l’agence de placement prend toujours une partie de mon salaire. Si l’entreprise paye 15 $ l’heure, je ne vais recevoir que 10,50 $ l’heure, puisque le reste va à l’agence qui m’embauche.
Il faut que les choses changent : les travailleuses et les travailleurs doivent être traités de façon égalitaire, notre ancienneté doit être considérée. Mais surtout, il faut que le salaire minimum soit toujours fixé à 15 $ l’heure, et que nous touchions la totalité de notre paye. Le travail que nous effectuons vaut 15 $ l’heure, il faut que l’on soit payé en conséquence.
Jacqueline Abandibakobwa |
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| Congrès de la CSN |
Le 65e Congrès de la CSN arrive à grands pas.
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| une image vaut mille mots |
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